Surfaces utiles, des éditions en marge qui valorisent la culture des restes

Après avoir lancé la revue La Perruque il y a quelques mois, espace d’expérimentations typographiques, Olivier Bertrand s’entoure de nouveaux acolytes, Chloé Bernhardt et Justin Bihan, pour développer le projet Surfaces Utiles, une maison d’édition en marge.

Selon leurs propres mots, Surface Utiles est un “jardin collectif éditorial’ qui a vocation à promouvoir une hétérogénéité de pratiques artistiques, littéraires, (typo)graphiques et techniques. Un terrain de jeux pour expérimenter des manières alternatives de travailler ensemble.

Listen beautiful relax classics on our Youtube channel.

En d’autres termes, la maison d’édition bruxelloise ne fait rien comme les autres. Elle imprime ses ouvrages sur des chutes de l’imprimerie, exploitant une matière précieuse mais non valorisée. Elle s’acoquine avec des imprimeurs pour exploiter ces espaces vacants en marge de leur impression courante. Prône l’échange et rassemble des profils variés désireux de s’investir dans un projet artistique singulier.

Une campagne Kickstarter a été lancée pour lancer l’impression des 4 premiers ouvrages et permettre l’aboutissement de ce premier projet singulier.

http://kck.st/2lNPzjN

https://vimeo.com/200754952

1488207061
Image 1 / 8
1488207075
Image 2 / 8
1488207062
Image 3 / 8
1488207049
Image 4 / 8
1488207048
Image 5 / 8
1488207048
Image 6 / 8
1488207048
Image 7 / 8
1488207048
Image 8 / 8

Source: etapes

Rating Surfaces utiles, des éditions en marge qui valorisent la culture des restes is 5.0 / 5 Votes: 5
Please wait...
Loading...